The Good, The Bad & The Ugly, MotoGP production !

 

Où comment se préparer , avec dérision, à l’une des plus grande dramaturgie que le sport puisse nous offrir !

THE GOOD, THE BAD & THE UGLY,

MotoGP Production.

La scène finale qui se profile à Valence dimanche 8 novembre pour la dernière manche du Moto GP surclassera sans aucun doute celle de Sergio Leone, en tous les cas pour sa durée, ce qui n’était pas évident pour qui a vu la VO, il faut bien l’avouer…(ici pour ceux qui voudraient se refaire ce plaisir…)

Pourquoi ne pas continuer cette comparaison par anticipation, en détaillant les similitudes et les différences entre ces deux scènes éloignées de plus de 100 ans mais qui, dans les deux cas, parlent…de spaghettis !

LE LIEU: Idem

L’Espagne dans les deux cas, Castille, Léon et Sierra Del Carazo pour le western, Valence pour « GP Production ». A noter que si le lieu importe peu pour le 1er, c’est le pays d’origine commun de la Brute et du Truand pour la version moderne, ce qui aura une influence capitale pour le déroulement du scénario.

L’ENJEU: Différent, quoique…

Tandis que le vainqueur de la version spaghetti accomplit son exploit dans l’anonymat le plus total, celui de le version GP aura un public de plus de 100 000 fans hystériques, venus du monde entier.

Au vase clos du 1er, cercle de poussière et de sable de « Sad Hill », se dessine pour le vainqueur du MotoGP une entrée directe au Panthéon des sports mécaniques et il sera célébré tel un dieu vivant, surtout si « The Doctor » (Valentino Rossi) l’emporte…

Par contre on peut dire que dans les deux cas, on reste dans des activités « viriles », parfois incorrectes, mais qui ont fait rêver beaucoup d’entre nous, avec ou sans « cojones » !

LES MOYENS: Idem, bien que…

Les acteurs son juchés sur des cheveux dans les deux cas, mais Tandis que Blondin n’en a qu’un seul entre les jambes, The Doctor en a plus de 200, ouf !

Ca va forcément plus vite aujourd’hui, mais la version de leone a aussi son charme, et puis Blondin a d’autres arguments tout aussi…efficaces !

LES ACTEURS: Idem, mais…

Le Bon: Ne tournons pas autour du pot et attribuons à l’unanimité ce rôle à celui qui fait se lever les foules aux 4 coins du monde depuis près de 20 ans, j’ai  nommé Valentino Rossi himself !

Ajoutons que le déroulement des précédents épisodes plaident plutôt en sa faveur, même si les moyens employés au cours du dernier grand prix ont jeté le trouble et lui ont valu d’être pénalisé…

Ajoutons encore que le Spaghetti de le version MotoGP, c’est lui, et que ses adversaires « Paella & Chorizo » se sont ligués contre lui, ce qui change totalement les données de la rencontre !

La Brute: Là encore aucune hésitation, Marquez est tout proche de l’oscar dans cette catégorie et personne ne lui arrive au cale pied…Notons que son style se retourne parfois contre lui et lui fait quelquefois mordre la poussière !

Le Truand: Jusque là assez discret, Lorenzo a dévoilé sa part d’ombre au cours de ce dernier épisode, et son image s’est tellement ternie que l’on peut sans souci lui attribuer ce rôle.D’autant plus que si dans la version spaghetti chacun défendait sa propre peau et convoitait les dollars pour sa pomme, c’est devenu plus subtile dans la version GP, la Brute servant les intérêts du Truand…

Ah si Valentino pouvait être à la hauteur de Blondin…mais le happy end semble peu probable dimanche 8, à moins que ce ne soit carrément un super-héros qui naisse sous nos yeux, et qui porte déjà son nom de scène, THE DOCTOR !!!

Bonne route, portez-vous bien,

Oliv’.